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30/10/2022

Sainte Thérèse de Lisieux récupérée par l’UNESCO

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   En 2022-2023, l’UNESCO entend fêter les cent cinquante ans de sainte Thérèse de Lisieux. En effet, la mystique française, avec d’autres personnalités ayant elles aussi un anniversaire à célébrer, a retenu l’attention des Nations Unies. Il ne manquera pas de catholiques pour se réjouir sincèrement de cette nouvelle et penser que l’UNESCO prétend ainsi promouvoir le catholicisme. C’est hélas mal connaître les intentions de l’instance mondialiste, dont le caractère anti-chrétien et néo-païen n’est plus à démontrer. Voyons cela de plus près.

   La proposition de fêter l’anniversaire de sainte Thérèse apparaît dans le document 211 EX/30.INF rédigé à Paris le 15 mars 2021. En voici le texte :

« 19. 150e anniversaire de la naissance de Thérèse de Lisieux, mystique (1873-1897) (France, avec le soutien de la Belgique et de l’Italie)
Thérèse de Lisieux est une religieuse qui est décédée à l’âge de 24 ans, connue notamment pour ses publications posthumes, dont Histoire d’une âme. Cette célébration contribuera à apporter une plus grande visibilité et justice aux femmes qui ont promu, par leurs actions, les valeurs de la paix. Étant donné la célébrité de Thérèse de Lisieux dans la communauté catholique (la ville de Lisieux étant le second lieu de pèlerinage de France après Lourdes), la célébration de son anniversaire peut être une opportunité de mettre en valeur le rôle des femmes au sein des religions dans la lutte contre la pauvreté et la promotion de l’inclusion, en ligne avec les objectifs de développement durable (ODD) 1 et 16. Elle peut aussi renforcer le message de l’UNESCO sur l’importance de la culture (poèmes et pièces de théâtre écrites) dans la promotion de valeurs universelles et comme vecteur du dialogue interreligieux. (SHS) »

   Que vient faire sainte Thérèse dans la galère de l’UNESCO ? Elle sert très clairement de caution morale aux valeurs dont cette dernière prétend faire la promotion. Le texte l’affirme sans ambages avec trois expressions qui ne laissent aucune place au doute : « Cette célébration contribuera à apporter une plus grande visibilité et justice... », « la célébration de son anniversaire peut être une opportunité de mettre en valeur... », « Elle peut aussi renforcer le message de l’UNESCO... ». Les Nations-Unies ne s’emparent donc pas de la sainte de Lisieux pour l’honorer, mais bel et bien de la récupérer dans un but de propagande. Pourquoi elle ? En raison de sa « célébrité [...] dans la communauté catholique ». En fait, il s’agit d’utiliser la petite Thérèse dans le but de promouvoir les valeurs de l’UNESCO auprès des catholiques, en la présentant comme une illustration de celles-ci.

   Mais de quelles valeurs parle-t-on ? Tout d’abord, de la spiritualité globale. La spiritualité globale est aux religions ce que l’état mondial est aux nations. Dans les deux cas, il s’agit d’absorber les petites entités dans un grand ensemble, peut-être en leur conservant un semblant d’existence, mais en les vidant de leur substance propre. Il s’agit, en gommant les spécificités des nations (sur le plan politique) et des religions (sur le plan spirituel) de tout réduire au plus petit dénominateur commun. Quel est ce plus petit dénominateur commun sur le plan religieux ? Un machin vague à souhait, susceptible de convenir au plus grand nombre : « les valeurs de la paix », « les valeurs universelles »… Notez bien l’emploi du pluriel dans ces groupes nominaux, ainsi que dans l’expression « au sein des religions ». Il constitue la marque très sûre d’un véritable relativisme, que l’on retrouve d’ailleurs dans l’évocation du « dialogue interreligieux ». Quand on sait que sainte Thérèse de Lisieux, durant toute sa vie de carmélite, a prié pour les missionnaires, au point d’être déclarée sainte patronne des missions en 1927, on se dit que l’UNESCO n’est pas à une malhonnêteté près. En effet, la mission, parce qu’elle se veut l’annonce claire et fidèle de l’Évangile du Christ, se situe aux antipodes du dialogue interreligieux, nécessairement fait de lâches concessions et de consensus mous. Sainte Thérèse de Lisieux, apôtre de la spiritualité globale ? Allons donc !

   Et puis il y a le féminisme, mis à toutes les sauces à notre époque. « Cette célébration contribuera à apporter une plus grande visibilité et justice aux femmes qui ont promu, par leurs actions, les valeurs de la paix » ; « mettre en valeur le rôle des femmes au sein des religions dans la lutte contre la pauvreté et la promotion de l’inclusion ». Là encore, on peut parler de malhonnêteté… À quel moment sainte Thérèse, cloîtrée comme elle l’était, s’est-elle donc illustrée « dans la lutte contre la pauvreté et la promotion de l’inclusion » ? Aurions-nous raté un épisode ? Quant au mot « inclusion », on sait à quel point il fonctionne comme un véritable marqueur idéologique, qui sert aujourd’hui de slogan à toutes les causes LGBTQXYZ…

   Pour avancer ses pions, la pieuvre onusienne n’a donc pas hésité à poser son tentacule immonde sur le visage pur de la sainte de Lisieux, sommée de participer à la promotion des fameux Objectifs de Développement Durable. Prêter à sainte Thérèse de Lisieux une quelconque collusion avec l’ODD n°1 (« pas de pauvreté »), comme le fait le texte de la proposition, nous paraît un tantinet décalé : la mystique de Lisieux, en tant que carmélite, n’a-t-elle pas au contraire fait vœu de pauvreté ? Décidément, tous les moyens semblent bons pour promouvoir ces « 17 objectifs pour sauver le monde », comme le clame le site de l’ONU. Sauver le monde, peut-être, mais sans l’Enfant Jésus ni la Sainte Face chers à Thérèse...

30/03/2022

Entretien avec Arthur Sapaudia

Arthur Sapaudia pour E&R : Antoine Martin, vous avez publié aux éditions Kontre Kulture, à ce jour, deux ouvrages. Pouvez-vous nous rappeler la thèse du Chant dans la fournaise, et celle de sa suite, La Chute des astres ?

Antoine Martin : Dans Le Chant dans la fournaise, j’ai essayé de démontrer que notre société occidentale n’est pas athée. Elle a seulement changé de religion, en prétendant faire de l’homme une divinité, et supplanter ainsi le Dieu du christianisme. Laïcité, transsexualisme, transhumanisme, culture de l’avortement, capitalisme financier... Autant de lieux où, pour qui sait y regarder, s’incarne cette spiritualité de l’homme devenu Dieu. Spiritualité délétère, spiritualité vouée à l’échec : vouloir se transfigurer en divinité autonome constitue le plus sûr moyen de se défigurer pour de bon.

La Chute des astres se présente comme le prolongement de cette réflexion. Ayant constaté que de nombreux promoteurs de cette religion centrée sur l’homme étaient de confession juive, j’ai d’abord voulu voir en quoi le judaïsme pouvait en être le vecteur. La dernière partie du livre se concentre sur la situation française et sur la question suivante : comment la fille aînée de l’Église a-t-elle pu devenir le pays des droits de l’homme ?

 

Dans votre conférence donnée à Genève le 2 mars 2019 intitulée L’Homme : un dieu ou une bête ? – Menaces sur l’anthropologie chrétienne, vous abordiez ce qui, dans la société, tend à faire de l’homme soit un dieu, soit une bête. Citons par exemple le développement personnel, le transsexualisme, les nouvelles formes d’éducation et le transhumanisme d’un côté, et au contraire, le véganisme, la dépopulation, les GINKs (Green Inclination No Kid) et l’« écosexualité » de l’autre. Est-ce que d’autres faits de société visant à diviniser ou « animaliser » l’homme sont apparus depuis bientôt trois ans et plus particulièrement avec la pandémie fantôme du Covid-19 ?

Effectivement, notre société est ballottée entre deux tendances apparemment contradictoires : diviniser l’homme ou le rabaisser au rang des bêtes, voire plus bas que ces dernières. Cependant, la contradiction disparaît si on considère ces deux tendances comme les deux mâchoires d’un même étau dialectique, poursuivant en fait le même but : prendre en tenaille l’anthropologie chrétienne afin de l’attaquer plus sûrement. En effet, selon cette dernière, Dieu a créé l’homme inférieur à lui, mais supérieur au reste de la création (ce qui implique bien sûr une responsabilité). Cette hiérarchie, nous la trouvons admirablement rappelée dans le huitième psaume de la Bible :

À voir ton ciel, ouvrage de tes doigts, la lune et les étoiles que tu fixas, qu’est-ce que l’homme pour que tu penses à lui, le fils d’un homme, que tu en prennes souci ? Tu l’as voulu un peu moindre qu’un dieu, le couronnant de gloire et d’honneur ; tu l’établis sur les œuvres de tes mains, tu mets toute chose à ses pieds : les troupeaux de bœufs et de brebis, et même les bêtes sauvages, les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, tout ce qui va son chemin dans les eaux.

Ceci rappelé, il me semble qu’avec le covid, c’est le versant anti-humain de cette attaque qui s’est le plus exprimé. De toute évidence, la divinisation n’est désormais réservée qu’à une toute petite élite, qui, elle, prétend gérer le commun des mortels comme un vaste troupeau. D’un côté les dieux, de l’autre les inutiles, comme dirait Laurent Alexandre ! Quotidiennement, nous nous voyons ainsi sommés d’accepter une injection expérimentale, dont nous ne savons pas encore si elle vise à nous pucer, à nous stériliser ou à nous supprimer. Sans parler de cette muselière d’un nouveau genre qu’est le masque...

Depuis plusieurs années déjà, un certain discours écologiste prétend faire de l’homme le gêneur de ce monde. Mais ces propos ont encore pris de l’ampleur avec la « pandémie » : lors du premier confinement, on a pu voir des gens nous expliquer que la planète respirait mieux depuis que tout le monde était enfermé chez soi !

Et voici un autre exemple dans le domaine de la culture populaire : début mars 2020, il était encore difficile de savoir avec certitude si le coronavirus était ou non une maladie grave. C’est pourtant ce moment précis que le groupe de métal symphonique Nightwish a choisi pour publier son clip Harvest. On y voit une nature magnifique, vierge de toute trace humaine, hormis ici et là quelques pierres tombales. Sur une musique joyeuse, le refrain nous invite gentiment à nous « rendre à la terre » et à inspirer nos enfants dans ce sens...

Face à cette crise du covid, entre mensonges du gouvernement, expérimentations à échelle mondiale, mise au ban des non-injectés, hypnose collective, Great Reset pour tous… Quelle est la réaction catholique adéquate ?

Pas celle indiquée par la hiérarchie catholique, en tout cas ! L’épiscopat français, dans son immense majorité, répond aux mesures liberticides par un silence assourdissant. Quant au pape François, il appelle tous les fidèles à se faire vacciner : il s’agirait, selon lui, d’un acte d’amour ! Ce à quoi Sara Cunial, une députée italienne, a très justement répondu qu’un acte d’amour effectué sans consentement et sous contrainte s’appelait plutôt un viol.

Heureusement, quelques voix courageuses se sont levées dans une frange marginalisée de l’épiscopat : celle de Mgr Carlo Maria Viganò et du Cardinal Müller, qui ont tous deux fermement dénoncé le coup d’État mondial en cours. Au niveau des laïcs catholiques, les engagements sont très divers et se mêlent souvent à des initiatives non spécifiquement catholiques : combats juridiques, manifestations, pétitions, entraide...

Je voudrais cependant souligner deux domaines où une réponse spécifiquement catholique a été apportée. Tout d’abord, beaucoup de fidèles ne refusent pas l’injection seulement à cause du danger qu’elle représente pour la santé et pour la liberté, mais encore pour une autre raison : l’utilisation, dans la conception de ce « vaccin », de cultures de cellules issues d’embryons avortés. Beaucoup de catholiques estiment avec raison qu’accepter en connaissance de cause un tel « remède », c’est cautionner l’industrie de l’avortement et le trafic d’organes qui l’accompagne.

Enfin, on a vu ces derniers jours une initiative inédite, appelée La France prie. Des milliers de catholiques, souvent sans demander l’autorisation ni à leur préfet ni à leur curé, se réunissent en plein air, dans des lieux publics, pour prier le chapelet. À mal public, prière publique ! Compte tenu du fait que les catholiques français avaient largement intégré la laïcité comme norme de comportement, une telle initiative mérite d’être signalée.

 

Selon vous, sommes-nous rentrés dans la fin de temps, annoncée par les écritures ?

Selon l’auteur de la lettre aux Hébreux dans le Nouveau Testament (I, 2), nous sommes dans les derniers temps depuis la venue du Christ ! Cependant, il est indéniable que l’époque actuelle a comme un goût d’Apocalypse. Avec le pass vaccinal, le « vaccin » anti-covid s’apparente de plus en plus au chiffre de la Bête, sans lequel il sera impossible d’acheter ou de vendre (Apocalypse XIII, 17). Quant au pape François, il ressemble à s’y méprendre au faux prophète, décrit par saint Jean comme une Bête qui avait deux cornes comme un agneau, mais qui parlait comme un dragon (Apocalypse XIII, 11).

Vivons-nous pour autant exactement les événements annoncés dans l’Apocalypse, ou bien faut-il parler de simples préfigurations d’autres événements encore à venir ? Bien adroit qui pourra l’affirmer avec certitude ! Déjà à son époque, saint Jean déclarait :

Petits enfants, voici venue la dernière heure. Vous avez ouï dire que l’Antichrist doit venir ; et déjà maintenant, beaucoup d’antichrists sont survenus : à quoi nous reconnaissons que la dernière heure est là. (I Jean II, 18)

1er février 2022

Source :

www.egaliteetreconciliation.fr/Notre-societe-occidentale-...

22/07/2021

« Vaccins » anti-COVID : la grande messe noire sur le monde

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Il y a un peu plus d'un an, la « pandémie » de COVID-19 donnait lieu à l'interruption des services religieux, dont celle de la messe pour les catholiques. Y a-t-il de quoi s'en étonner, dès lors que les mesures de lutte prophylactique contre ladite « pandémie » prennent elles-mêmes des allures de rituel ? Un culte ne fait qu'en chasser un autre : auparavant, la sexagénaire se signait à l'eau bénite à l'entrée des églises ; désormais, elle s'enduit les mains de gel hydro-alcoolique à l'entrée des magasins…

Et puis il y a ce « vaccin », censé nous sauver tous. De lui dépendrait non seulement la fin de la « pandémie », mais même la reprise économique ! Attendue comme le messie, l'injection d'ARN fait l'objet d'un véritable discours sotériologique. Le slogan « Vaccine saves » s'est ainsi répandu dans le monde entier. Il a été projeté en lettres capitales sur la statue qui surplombe Rio de Janeiro, celle du Christ Rédempteur, justement ; celle de Jésus, celui dont le nom signifie en araméen « Dieu sauve ». Comme pour nous dire : entre Jésus et le vaccin, il va falloir choisir votre Sauveur.

De fait, l'injection censée nous protéger du COVID se présente comme gravement incompatible avec la foi chrétienne. Ne serait-ce que parce qu'elle est fabriquée à partir d'une culture de cellules d'embryons avortés. Bien sûr, le Vatican s'est empressé de proclamer que cela ne posait aucun problème, rassurant ainsi certains dévots qui n'attendaient que ce feu vert pour foncer vers la piqûre prétendument salvatrice. De nombreux prêtres, évêques et personnalités en vue du monde catholique, y compris chez les tradis, n'ont pas manqué de faire chorus, trop heureux de cet édredon venu à point nommé étouffer le cri de leur conscience.

Accepter pour soi-même ces injections, c'est cautionner ipso facto l'industrie de l'avortement et le trafic d'organes qui en résulte. C'est, chose terrible, accepter d'en être marqué dans sa chair et dans son sang. Est-il besoin d'aucun avis du Vatican, ou même d'un entretien avec le Monsieur l'Abbé local, pour sinon comprendre cette vérité, du moins la percevoir confusément ? On nous dit qu'il s'agit là d'un problème éthique très compliqué, qu'il faut des spécialistes de la théologie morale pour trancher la question… C'est en réalité très simple. Pour ceux qui veulent voir. Pour ceux qui observent les commandements divins avec une conscience droite. En matière de doctrine religieuse comme en matière de médecine, méfions-nous du règne des experts !

Les injections anti-COVID présentent des ressemblances frappantes avec la Sainte Communion. La seconde nous sauve, et la première a la même prétention. L'une est le corps et le sang de l'Agneau sans tache crucifié il y a 2000 ans ; l'autre résulte de la culture des cellules d'une autre personne innocente, avortée il y a quelques décennies. Le sacrement de l'eucharistie rend Jésus totalement présent dans chaque hostie ; la culture en laboratoire permet la réduplication à l'infini des cellules embryonnaires humaines, ainsi présentes dans chaque injection anti-COVID. La communion sacramentelle fait de vous un homme nouveau ; l'injection d'ARN aussi, dans la mesure où elle est susceptible de modifier votre identité génétique. Jadis, afficher votre manque de foi dans la présence réelle de Jésus au Saint-Sacrement vous exposait à vivre en marge de la société ; c'est ce que fera demain le « Pass Sanitaire » si vous refusez de croire aux fameux « vaccins ». À l'inverse, si vraiment ces derniers ont pour objectif de relier chaque individu à un réseau mondial (internet des corps), comme le prétendent certains, cela ne sera pas sans évoquer le fait que les croyants sont unis entre eux par ce qui s'appelle justement la communion, et qu'ils ne font ainsi plus « qu'un seul corps dans le Christ » (Épître au Romains, 12, 5).

Un rituel collectif singeant l'eucharistie, impliquant la mise à mort d'un nourrisson et censée vous procurer la santé et la prospérité, cela ne vous rappelle rien ? C'est à une messe noire qui ne dit pas son nom que nous sommes conviés, ou plutôt convoqués. Tous, ensemble, nous devons consommer le sang de l'innocent pour accéder au salut. Ne vous étonnez pas de voir ce rituel caché sous les oripeaux d'une démarche prétendument scientifique : le Baphomet ne tient-il pas un caducée sur son ventre ? Et l'ancien sataniste Zachary King n'a-t-il pas admis avoir pratiqué des avortements rituels, y compris dans des cliniques ?

Évidemment, comme chaque fois que l'on écoute le diable et ses mensonges, on se fait avoir. En témoigne la pléthore d'effets secondaires, parfois graves, qui accompagne ces injections. Quant à la faible dangerosité du COVID-19, dont certains traitements viennent facilement à bout, elle ne justifie pas la mise en place d'une vaccination à l'échelle mondiale. L'utilité du « vaccin » ne se situe donc pas au niveau sanitaire, mais bien politique : s'agit-il de contrôler les populations, de les stériliser ou de les éradiquer ? L'avenir nous le dira.

PS : au moment même où s'achève la rédaction de cet article, paraît un texte du courageux Mgr Carlo Maria Viganò, qui dénonce lui aussi la dimension liturgique et satanique de la « vaccination » anti-COVID… On en trouvera des extraits en anglais sur cette page.