
Il y a un peu plus d'un an, la « pandémie » de COVID-19 donnait lieu à l'interruption des services religieux, dont celle de la messe pour les catholiques. Y a-t-il de quoi s'en étonner, dès lors que les mesures de lutte prophylactique contre ladite « pandémie » prennent elles-mêmes des allures de rituel ? Un culte ne fait qu'en chasser un autre : auparavant, la sexagénaire se signait à l'eau bénite à l'entrée des églises ; désormais, elle s'enduit les mains de gel hydro-alcoolique à l'entrée des magasins… Et puis il y a ce « vaccin », censé nous sauver tous. De lui...